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PNCONSULTING-MAPTIC offre plusieurs gammes de formations destinées à tous les publics (Jeune, professionnel, Sénior…). Tester, développer et actualiser vos compétences aux évolutions des outils afin de gagner en efficacité. Nos formateurs sont choisis en fonction de leur profil « métier » (technique et pédagogique). Nos offres de formation continue s’articulent en blocs de compétences pour individualiser votre parcours. En savoir plus ! • La loi n° 2014-288 du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale • France Compétences a consacré une note aux blocs de compétences en septembre 2019.

Nous sommes certifiés Qualiopi depuis Décembre 2021.

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Dernières actualités Maptic
27 avril 2023Un article de Bertrand Duperrin, Head of People and Operations @Emakina Relayé par Catherine Quentric – Le 26 avril 2023. Selon Bertrand Duperrin, bonheur au travail et sens au travail ne seraient que des prétextes mis en avant par les entreprises pour montrer qu’elles s’occupent de leurs collaborateurs. Parler de satisfaction au travail, et travailler sur cette ambition, serait selon lui, un objectif bien plus réaliste et atteignable. Lire l’article de Bertrand Duperrin [...] Lire la suite…
27 avril 2023Une nouvelle feuille de route pour l’inclusion numérique !ANCT Info – 27 avril 2023“Agence de la cohésions des territoires” Le 21 avril dernier, Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications, a présenté les 15 propositions du Gouvernement issues des travaux du volet inclusion numérique du Conseil National de la Refondation. Lancé le 22 novembre 2022, le CNR Numérique associe les acteurs de la société civile avec pour objectif de construire ensemble des solutions concrètes pour protéger, accompagner et intégrer les citoyens dans la transition numérique en cours.  Porté par un travail conjoint de l’ANCT et de La Mednum, le CNR a donné lieu à une importante mobilisation d’experts, chercheurs, acteurs qualifiés, et citoyens au sein de quatre groupes de travail nationaux et dans le cadre de concertations territoriales animées par les Hubs pour un numérique inclusif.  Trois mois après le lancement de la démarche, une première synthèse a été publiée. L’État a souhaité proposer à l’ensemble des partenaires un projet de feuille de route stratégique pour la période 2023-2027, baptisée France Numérique Ensemble. Une phase de concertation s’ouvre maintenant, pour en débattre et définir collectivement des objectifs et la déclinaison opérationnelle de la feuille de route partagée entre État, collectivités, associations et entreprises…. Ecrivons ensemble la feuille de route pour l’inclusion numérique Concertation sur les engagements21/04/2023 – 19/05/2023 La transition numérique, actuellement à l’œuvre, impose de porter des politiques ambitieuses pour que chacun puisse se saisir des opportunités offertes, exercer sa citoyenneté et tisser les liens dont notre société a besoin. Cinq ans après le lancement de la première stratégie nationale pour un numérique inclusif, l’État, en s’appuyant sur les attentes et préconisations formulées dans le cadre du Conseil National de la Refondation numérique, a souhaité proposer à l’ensemble des partenaires un projet de feuille de route stratégique pour la période 2023-2027. Baptisée France Numérique Ensemble, cette proposition constitue une base de discussion qui doit pouvoir être discutée pour aboutir, d’ici 1 mois, à une ambition renouvelée, des objectifs partagés ainsi que des livrables immédiatement opérationnels permettant de matérialiser les engagements de chaque partie-prenante en faveur de l’inclusion numérique du plus grand nombre. Si les Français n’ont jamais été aussi nombreux à utiliser des services numériques et à bénéficier des innombrables opportunités qu’ils permettent, la récente étude du CREDOC – CREAD estime que 31,5% des 18 ans et plus résidant en France métropolitaine sont plus ou moins éloignés du numérique, faute de maîtriser les compétences numériques élémentaires. Dans ce contexte, de nombreux acteurs, publics et privés, se sont impliqués dans la mise en œuvre de la Stratégie nationale pour un numérique inclusif (SNNI), menée entre 2017 et 2022.  Les différents partenaires, qu’il s’agisse des collectivités locales ou des acteurs de la société civile, soulignent l’effet amplificateur de cette première stratégie sur la prise de conscience des enjeux d’inclusion numérique des Français. La thématique, à la fois nouvelle et complexe pour beaucoup d’acteurs commence à s’ancrer et à produire ses effets dans les territoires les plus avancés. Cet ancrage est le fruit d’une collaboration fructueuse entre l’État et les collectivités locales, qui trouve notamment à s’incarner dans le déploiement des 4 000 Conseillers Numériques, dont 60% sont des agents territoriaux. Au-delà des acteurs institutionnels, la politique d’inclusion numérique a su favoriser l’émergence d’un secteur d’activité spécifique et multiforme qu’il convient désormais de consolider et d’accompagner dans la durée. En savoir plus ! [...] Lire la suite…
24 avril 2023Offrir des opportunités d’apprentissage inclusives est avant tout une question de justice sociale et un moteur d’autonomisation. Alexandra Ioannidou Les résultats des premier et deuxième cycles du Programme de l’OCDE pour l’évaluation internationale des compétences des adultes (PIAAC) révèlent que les adultes des économies développées sont très nombreux à ne pas posséder les compétences de base. Lors du premier cycle du PIAAC, en moyenne, environ 19 % des adultes de l’ensemble de l’échantillon se situaient au niveau 1 (le plus bas) en lecture et en écriture ou n’atteignaient même pas ce niveau (OCDE, 2013). Les résultats du deuxième cycle du PIAAC ont également confirmé ces mêmes conclusions pour d’autres pays (OCDE, 2016). Par ailleurs, des différences significatives entre les pays et au sein d’un même pays ont été constatées dans le groupe des « élèves à faible niveau ». Un communiqué de presse publié par la Commission européenne en juin 2016 indiquait que 70 millions d’Européens ne maîtrisaient pas suffisamment la lecture et l’écriture, tandis qu’un nombre encore plus important d’entre eux présentaient des compétences insuffisantes en matière de calcul et de technologies numériques. En 2016, la Commission a élaboré une Stratégie en matière de compétences pour l’Europe afin de souligner l’importance stratégique des compétences pour le maintien de l’emploi, de la croissance et de la compétitivité. Selon cette Stratégie en matière de compétences pour l’Europe (2016), « le terme “compétences“ est employé dans un sens général et se réfère globalement à ce qu’une personne sait, comprend et est capable de faire ». En 2021, les transitions verte et numérique de l’économie et de la société, de même que la pandémie de COVID-19, ont clairement mis en évidence la nécessité pour un très grand nombre de personnes de se perfectionner et de se requalifier dans un nouvel environnement de travail et d’acquérir des compétences pour la vie : la nouvelle stratégie européenne en matière de compétences en faveur de la compétitivité durable, de l’équité sociale et de la résilience, était née. Dans son discours sur l’état de l’Union en septembre 2022, la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a déclaré que 2023 serait l’Année européenne des compétences. Notons que, dans cette partie de son discours, la présidente s’est exprimée en allemand en parlant de « das Europäische Jahr der Aus- und Weiterbildung » dans le texte original (l’Année européenne de l’enseignement primaire et secondaire), qui s’est finalement transformé en « Année européenne des compétences », formule apparemment plus compatible avec l’orientation sur les résultats des processus éducatifs et l’approche centrée sur l’apprenant dans les textes de l’Union européenne. À cet égard, les associations européennes d’éducation des adultes, telles que l’EAEA ou la Plateforme pour l’éducation et la formation tout au long de la vie, plaident en faveur d’une conception holistique du terme « compétences », qui englobe les compétences de base et sociales, les compétences transversales et les compétences visant à renforcer le développement durable, la démocratie et l’inclusion sociale. Pour ces organisations, l’Année européenne des compétences offre l’occasion de se pencher sur les processus d’éducation, d’apprentissage et sur leurs effets, et de mettre en avant leur potentiel d’autonomisation pour les personnes concernées. La Stratégie en matière de compétences pour l’Europe fixe des objectifs ambitieux à atteindre d’ici 2025, sachant que la Commission a souvent tendance à fixer des objectifs trop ambitieux. Cette stratégie vise à augmenter de 67 % le nombre d’adultes peu qualifiés âgés de 25 à 64 ans qui suivent une formation (18 % en 2016 et 30 % en 2025). L’augmentation visée pour les chômeurs âgés de 25 à 64 ans est encore plus importante : 82 % (11 % en 2019 et 20 % en 2025). Pour atteindre ces objectifs ambitieux, il convient clairement de multiplier les offres de formation destinées aux personnes difficiles à atteindre par les dispositifs traditionnels d’éducation et de formation. La pandémie de COVID-19 est venue exacerber les inégalités existantes, car nombre d’établissements d’enseignement ont dû fermer leurs portes et se tourner vers les cours en ligne, affectant ainsi l’offre en matière d’éducation. Pourquoi l’offre de formation est-elle si importante ? Car il s’agit d’une condition nécessaire – mais non suffisante – pour qu’une personne puisse acquérir des connaissances et des compétences. En l’absence de structures offrant des opportunités d’éducation et de formation, une personne ne peut acquérir les compétences attendues ou réussir sa transition vers le marché du travail ; les objectifs européens ambitieux ne peuvent donc pas être atteints. Outre ce rôle essentiel de l’éducation et de la formation en termes de compétences et d’employabilité sur le marché du travail, l’offre de formations relève de la justice sociale : elle peut conduire à l’autonomisation des individus et au développement de leurs capacités dans d’autres sphères de la société. Amartya Sen, lauréat du prix Nobel d’économie, souligne le rôle émancipateur de l’éducation, qui permet aux individus de vivre la vie qu’ils souhaitent et peut conduire à un monde plus juste et plus sûr. Offrir des opportunités de formation inclusives au plus grand nombre, idéalement à tous ceux qui ne disposent pas des compétences de base, est donc une question de priorité politique et de justice sociale. Pour être inclusives, ces opportunités de formation doivent être ouvertes, accessibles et abordables pour le plus grand nombre. Quels sont les facteurs qui influencent les résultats d’apprentissage individuels ? L’offre d’éducation et de formation, qui peut être très variée selon les contextes nationaux, régionaux ou locaux. Le recours aux possibilités d’apprentissage, qui peuvent être facilitées ou entravées par le contexte et les capacités individuelles. Les facteurs sociodémographiques, le niveau d’éducation et la situation professionnelle sont particulièrement importants au regard de la participation aux opportunités d’apprentissage. Les contextes socio-économiques qui façonnent les relations de travail, les dispositions sociales et les écosystèmes régionaux de compétences (par exemple, le pouvoir des syndicats, les congés d’études rémunérés, les soins familiaux). Les programmes politiques, ciblant par exemple les jeunes à risque, les jeunes abandonnant prématurément l’école, les travailleurs exerçant des professions à haut risque d’automatisation, les adultes peu qualifiés et les groupes vulnérables. Opportunités d’apprentissage inclusives L’acquisition de compétences découle d’un grand nombre de facteurs différents, individuels et contextuels. Il s’agit également d’un processus évolutif qui s’opère tout au long de la vie. En effet, nous acquérons constamment de nouvelles compétences (sur le lieu de travail, dans le cadre des loisirs ou dans la sphère sociale) et en perdons d’autres, parce que nous cessons de les utiliser ou parce qu’elles sont obsolètes. L’acquisition et l’obsolescence des compétences sont très disparates au sein des pays de l’UE. Cela tient à plusieurs facteurs, dont la restructuration industrielle, la transformation socio-économique et l’évolution des besoins en matière de compétences. De nombreux adultes peu qualifiés, des immigrés nés à l’étranger, des personnes issues de certaines minorités ethniques ou de régions en retard de développement ont quitté l’école avec des compétences de base insuffisantes et se retrouvent souvent au chômage ou avec des emplois précaires dans des régions où les possibilités de formation sont rares et où les perspectives de développement personnel sont limitées. Le manque de compétences de base est considéré comme un indicateur fiable de pauvreté en matière d’éducation qui, à son tour, est associée à de faibles revenus, à la marginalisation, au risque d’exclusion sociale et à une mauvaise santé.   En savoir plus ! [...] Lire la suite…
27 mars 2023Ce 4e baromètre sur la formation et l’emploi propose un panorama sur l’avenir professionnel des actifs ainsi que plusieurs questions d’actualité sur le CPF, la reconversion professionnelle et la VAE. Enfin, un focus est apporté sur les transitions professionnelles. Par Centre Inffo – Le 27 mars 2023 La formation : un bouclier face aux mutations du marché du travail Cette 4e édition du baromètre de la formation et de l’emploi, réalisée par Centre Inffo en partenariat avec CSA, confirme les tendances observées depuis maintenant 4 ans Les actifs français souhaitent adapter leurs compétences au marché du travail (69%) Ils considèrent que c’est à chacun d’être responsable de son parcours de formation (77%) Ils estiment être bien informés sur les dispositifs de formation (51%) Cette édition apporte également un focus sur :  Le CPF : le dispositif le mieux connu (94%) La reconversion : 21% des actifs en cours de préparation Le regard des actifs concernant les transitions professionnelles — Une formation professionnelle indispensable pour faire face aux mutations du monde du travail Réalisé en janvier 2023 auprès de plus de 1600 actifs français en partenariat avec l’institut d’études CSA, le baromètre de la formation et de l’emploi de Centre Inffo a pour objectif de connaître leur opinion à l’égard de l’orientation et de la formation professionnelle en France, mais aussi leur perception relative à l’accompagnement, au CPF et aux perspectives dereconversion professionnelle, auxquelles ils sont ou seraient susceptibles d’être confrontés. Dans un climat économique et social particulièrement tendu du fait de l’inflation mais aussi des débats sur la réforme des retraites où beaucoup s’interrogent sur les modes de travail des prochaines années, le baromètre de la formation professionnelle de Centre Inffo apporte des éclairages sur les aspirations professionnelles des actifs français. Pascale Romenteau, Directrice Générale de Centre Inffo En savoir plus ! [...] Lire la suite…
20 février 2023Par : Hugo Struna | EURACTIV France Hugo Struna Journaliste, Agriculture & alimentation  2:03 (mis à jour:  2:04) Depuis 2015, le S-métolachlore est en cours de réévaluation au niveau Européen, dans le cadre du renouvellement de son autorisation de mise sur le marché. [vlalukinv / Shutterstock] L’herbicide, en cours de retrait du marché français, pourrait bien l’être au niveau européen dans les prochaines semaines. Après la France, l’Europe ? Alors que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a engagé une procédure de retrait du marché du S-métolachlore, l’EFSA (European Food Safety Authority), l’équivalent européen, pourrait bien en faire autant dans les prochaines semaines. L’herbicide est le troisième pesticide le plus utilisé en France – derrière le glyphosate et le prosulfocarbe – sur les cultures de maïs, de soja ou encore de tournesol. Depuis plusieurs années, les études scientifiques démontrent l’accumulation de ses métabolites (molécules de dégradation de la substance) dans les eaux souterraines et dans l’eau potable. En 2021, après une série d’analyses, l’Anses note que « les concentrations estimées des trois métabolites métolachlore-ESA, métolachlore-OXA et métolachlore-NOA dans les eaux souterraines sont supérieures à la limite de qualité fixée par la législation européenne en la matière. » Après avoir réduit les taux d’utilisation pour les cultures de maïs, de tournesol, de soja et de sorgho en 2021, l’agence a décidé mercredi 15 février d’interdire les « usages principaux » de S-métolachlore, sans pour autant préciser lesquels seraient concernés. « En 2021, 3,4 millions de Français ont ainsi bu une eau non-conforme à cause de la présence de l’ESA métolachlore, principal métabolite du S-métolachlore », explique l’ONG Générations Futures qui se réjouit de cette décision qu’elle réclame depuis plusieurs mois. Réaction en chaîne en Europe Si le potentiel cancérogène du S-métolachlore est reconnu depuis 2021 par l’Anses, l’Europe est parvenue à des conclusions similaires. En cours de réévaluation depuis 2015 dans le cadre du renouvellement de son autorisation de mise sur le marché, le S-metachlore a été classé comme cancérigène et perturbateur endocrinien « suspecté » en juin 2022 par l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA), l’instance officielle de classification des dangers des substances chimiques. « L’Europe aurait pu agir dès 2015, mais comme les Etats mettent du temps à rendre leurs rapports, le renouvellement se fait automatiquement depuis 8 ans« , souligne l’eurodéputée Michèle Rivasi (Vert / ALE)… En savoir plus sur l’article ! [...] Lire la suite…
20 février 2023La culture est à la fois un moteur et un facteur du développement durable. Tourisme : équilibre entre développement et protection du patrimoine culturel Le tourisme est un excellent moyen de promouvoir le patrimoine culturel et d’y donner accès, mais il engendre également des problèmes de surfréquentation, d’appropriation culturelle et de perte d’authenticité. Le tourisme apporte de l’argent et des emplois aux villes et aux régions, mais peut également nuire à la vie quotidienne des habitants, ainsi qu’à la culture et au patrimoine. Compte tenu des effets négatifs potentiels du «surtourisme» et de ses conséquences sur le patrimoine culturel, il est arrivé que des communautés locales et des experts du patrimoine se soient opposés au tourisme et au développement qui en résulte. Le tourisme culturel durable offre une nouvelle perspective, car il place le patrimoine culturel et les communautés locales au centre des processus décisionnels. Il est essentiel d’associer les communautés locales et les autres parties prenantes aux processus décisionnels pour garantir que les résultats bénéficient à la fois au patrimoine culturel et à la population locale. L’objectif du tourisme culturel durable est de garantir de bonnes pratiques de conservation, ainsi qu’une interprétation authentique qui soutienne l’économie locale… En savoir plus sur l’article ! En savoir plus sur l’action de la Commission européenne pour encourager letourisme culturel durable [...] Lire la suite…

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N° 2019-11-21-CV-1

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